Bienvenue sur mon blog ... ♥♥♥
Dans ce blog, vous trouverez ce que j'aime, ce qui me parle et qui me touche. Tout ce qui s'y trouve, je l'ai déniché sur internet lors de mes recherches.
Je vous laisse explorer son contenu et vous souhaite bon voyage.
Je n'avais jamais osé croire Que le bonheur voudrait de moi, que la chance pouvait me voir Et qu'elle me guiderait jusqu'à toi Et maintenant qu'on s'est trouvé et que j'ai pu toucher ta main Je ne pourrai plus douter, je ne cacherai plus ma voix, Je ne te cacherai plus ma voix
Ensemble on pourrait s'en aller, S'envoler, rêver debout À tout jamais s'abandonner, que la nuit redevienne le jour Et maintenant qu'on s'est trouvé, je ne lâcherai plus ta main Car nos deux coeurs se sont noués, et tu m'as montré le chemin
J'irai jusqu'où tu m'aimes, un lieu qu'on ne peut pas détruire Jusqu'où la vie nous mène, là où les larmes se changent en rires J'irai jusqu'où tu m'aimes, vers le meilleur ou vers le pire Tant que la vie nous mène, aussi loin que tous nos désirs
Quelque part à l'autre bout de la Terre, Nous serons, ce qu'il y a de plus beau, mise au monde à nouveau Nous serons, toi et moi à l'abri de la guerre Nous ferons, fleurir à nouveau, ce qu'il y a de plus beau
Yeah ooohhh
J'irai jusqu'où tu m'aimes, un lieu qu'on ne peut pas détruire Jusqu'où la vie nous mène, là où les larmes se changent en rires J'irai jusqu'où tu m'aimes, vers le meilleur ou vers le pire Tant que la vie nous mène, aussi loin que tous nos désirs
Il la prend dans ses bras avec délicatesse Pour la redéposer d’où elle était venue, Espérant que jamais cet instant-là ne cesse, Il ose s’imaginer à la voir toute nue.
Elle se laissa mener, tout en penchant sa tête Tendrement sur l’épaule de son futur amant, Abandonnant son corps par amour au poète Qui bouleversa sa vie par ses mots diamants.
Ils étaient là tous deux, tels jeunes adolescents Excités, maladroits et pressés dans leurs gestes À vivre pleinement, ce bel amour naissant. Elle offre au bon plaisir Vénus astre céleste
À sa main en errance, qui en frémit d’amour Elle accueille avec joie ce désir intérieur Sans vouloir maîtriser ses doux allers-retours Qui trahissent cet instant par des cris de bonheur
L’intensité s’étend, enveloppant les deux corps à faire naître un sourire sur les plis du visage Qui va les emmener dans un ultime effort Libérer le magma du volcan qui fut sage.
Au guerrier chevauchant sa nouvelle conquête, Elle donna à sa lame l’honneur de son fourreau En lubrifiant l’accès qui le mène à sa quête Dans le secret espoir qu’il réitère l’assaut.
Sur ce lit de bataille deux héros enlacés Offrant l’un à l’autre un luxurieux combat L’apogée de l’amour ou ils se sont bercés Et où l’on pouvait voir l’étendue des ébats.
Mais cachés au fond d’elle, troubles, et émotions Remontent à la surface. Il fallait sans attendre Qu’elle lui parle maintenant de sa situation Et l’inquiétant secret, qui risque de la perdre…
Yvon Le 19/04/08
Je veux autre chose. Je ne veux pas d'une relation banale. Je veux voler, planer, monter au 7ème ciel. Qu'on me fasse grimper le plus haut, que ça m'fasse boum boum, bim bam en moi. Je veux avoir mal, ressentir des pulsions de désirs, putain, je veux qu'ça brûle, je veux être incendiée d'amour. Je veux pas d'une histoire merdique avec 4 ou 5 je t'aime dans la journée, des bisous toutes les 2 heures. Je veux qu'on me plaque contre un mur, je veux qu'on me contrôle, je veux de l'intensité, fait moi fondre. Je veux pas que ça dure 2 mois, tu m'entends, fait moi vivre autre chose, quelque chose de fort, durant des mois, voir des années, prouve moi que tu me veux putain, bat toi, fait moi rêver, vends moi du putain de rêve à la con! Mort moi, griffe moi, aggripe moi, donne moi du plaisir comme je n'ai jamais pu en avoir. Aime moi comme je n'ai jamais été aimée. Tu comprends ça. Je veux de la frénésie, je veux crier dans tes bras, ne ressentir que des frissons. Offre moi tout ton amour, tes rêves, ton obsession de la vie, de ton indépendance. Je veux tout de toi. Jouis de moi, de notre sensualité. Considère moi comme la plus unique des personnes. Gratifie moi de tout, sois différent qu'avec moi, sois unique pour moi. Enlace moi jusqu'à me déboiter les os, je veux que tu me fasse mal. Fait moi comprendre que tu ne veux que mon sang. Que mes lèvres contre les tiennes. Ne t'abstiens de rien, sois imaginaire, découvrons nous l'un à l'autre. Cherche moi, donne moi envie d'être avec toi, aspire mon ultime bonheur. Provoque mon tourbillon de pulsions. Fume diverses de mes pensées. Avale différents de mes fantasmes. Rattrape moi à chaque embuscade. Donne moi tout. Tout. Donne moi envie de crever d'amour !
Je t'aime encore une fois, Les mots d'hier ne sont pas suffisants, Sous le voile, un manque, La chaleur d'une main demandeuse.
Mon coeur en dépendance, Mon corps ivre sous la dose de ton poison. Je brûle du froid de ton absence, Je tremble sous les flammes d'un silence,
Mes lèvres sont rouges du brasier de tes jours. Aux portes de mon âme, Le Diable s'impatiente, Le souffle des ombres me pénètre, L'amour vit sur mes paupières.
Je t'aime encore une fois, Je veux encore ces mots qui transpercent, Je rêve encore à l'interdit, Dont le fruit porte ton nom.
Tes mains sur moi ont l'ivresse du frisson, L''indolence interdite quand coule le poison, Voyage passionnel et la peau qui demande, Mon corps est pour toi la plus belle des offrandes. Parcours-moi encore si tes doigts sont désirs, Touche là sur mes reins ce qui peut faire frémir, Donne-moi toute ta fièvre, oublie les heures mortes, Goûte, bois jusqu'au sang et si tu mords qu'importe.
Palpe-moi de ton ombre, caresse-moi de tes yeux, Je crierai notre amour, j'avouerai ce que tu veux, Ton parfum sur mon coeur sera l'empreinte de ta loi, Et moi et mon bonheur ne verront plus que toi.
Mes nuits sont nos draps frôlant ta peau ouatée, Des serpents de silence rampant jusqu'à tes bras, Proposant à tes lèvres le fruit le plus sucré, Et l'amour en présence même au bout de mes doigts. Mes nuits sont des richesses qui ne s'achètent pas, Des caresses bercées d'or sur tes désirs argent, Le souffle de ma bouche posé ici et là, Pour conjurer le sort et se refaire amants.
Mes nuits sont ces jours qui perdent la raison, Des bruissements d'insouciance, les voeux du condamné, Mes espoirs dans tes mains, un serment de passion, Et les frissons d'hiver des phrases d'éternité.
Les lumières se sont éteintes Restent quelques murmures à peine distincts L'écran noir s'éclaire dans le silence le profil de votre visage se détache en transparence dans cette pénombre complice de l’instant
Déjà elle a capturé votre main dans la sienne doucement l’entraîne à ses lèvres tièdes Et joue de vos doigts en son repaire humide...
Votre regard troublé plonge dans le sien incandescent votre main toujours dans la sienne lentement descend En voyage sous le soyeux de sa robe légère jusqu'à la naissance de ses cuisses qui s abandonnent.
Vos souffles unis précautionneusement s'accélèrent elle fait glisser votre main , frissonne et s'offre à vos doigts qui s'animent... Retiens chaque gémissement que vous convoitez à lui ravir de votre promenade en ce lieu chaud et intime.
Pourvu que le film soit triste pour que son souffle au sommet du plaisir s’apparente à un léger soupir, pourvu que le film soit triste qu'elle puisse placer sa tête sur votre épaule.
Pourvu que le film soit ennuyeux, qu'ils puissent penser qu'elle s'endort,s’envole lorsque son visage glissera méticuleux le long de votre poitrine, au plus doux et atteindre en caresse de sa joue le renflement palpitant de votre corps.
Pourvu que le film se prolonge encore et encore qu'elle puisse de ses lèvres ingénues,en douce vague effleurer le velouté de votre dague la relâchant légèrement de sa prison devenue exiguë. Le temps de s'étourdir de cette flagrance secrète de laisser jaillir cette première perle de liqueur céleste qui déjà vous cambre, vous fait glisser discrètement.
La séance se termine, lentement, vous abandonnant au paroxysme de votre désir. la salle s'éclaire peu à peu,le temps de vous ressaisir.
Mais déjà elle vous entraîne au dehors, Vous enlace dans un corps à corps, en un long baiser reconnaît la présence de votre envie.
Pourvu qu’il fasse nuit Pourvu qu'il y est de belles portes cochères perdues au cœur d’une rue sombre dans la chaleur de la nuit légère.
D'une soirée mondaine, où je m'ennuyais éperdument, toutes mes pensées charnelles Me hantaient et m'envahissaient continuellement, vers toi, la femme que j'aime amoureusement. Je rêvais en secret, les yeux ouverts en cette soirée monotone, d'amour et de grands ébats, Où toi et moi en ce jour d'automne, se livreraient à l'amour sans retenue et sans « je ne veux pas ».
Les volets clos et portes fermées, j'imaginais une pièce noire, quelques bougies allumées, Toi munie d'un bandeau noir, tes yeux voilés où ton beau corps nu me serait ainsi dévoilé. D'une musique envoûtante en bruit de fond, douce et envahissante, tel que notre amour passion, Qui te prédirait une nuit de baisers, de caresses si plaisantes à en mourir d'être aimée.
Un peu d'encens, parfumant ainsi notre chambrée, où de mes gestes si doux si raffinés Ton corps brûlant subirait l'extase d'une jouissance extrême que tu ne puisses maîtriser. De jeux de mots, entre l'amour et la vulgarité, que je déposerais au creux de ton dos, Où mes lèvres passionnées flâneraient en tes endroits les plus intimes et si secrets.
Je rêve de ton amoureuse éloquence qui sera notre en cette nuit romantique, Nous aimer d'amour à en subir nos plus folles envies et nos plaisirs érotiques. Je serai tien, tu seras mienne.
Alors, ton corps et mon corps se répandront en encore jusqu'à l'aurore.
Dunes arides où le soleil vient se coucher Dans un silence limpide de crépuscule doré Sables mouvants comme l’est la passion Désirs dansants sur deux corps en fusion
Soupirs aériens, caresses inassouvies Rire lingual aux portes de la nuit Langues qui se cherchent esprits qui s’effleurent Dans un tapis lunaire où s’embrasent les cœurs
Peaux qui transpirent d’amour christallin Deux pôles d’un même désir dans le creux des reims Envies qui se glissent dans les endroits secrets A l’abri des regards, oasis cachée
Symbiose intemporelle de la glace et du feu Brasier cryogénique de deux cœurs amoureux Glissades au creux de l’âme, jouissance à l’infini Empreintes sensitives qui frissonnent d’envie
Album : Des roses en hiver (Akamusic / Universal Music) Album : Un nouveau jour se lève (BLC Prod)
Biographie
Auteur, compositeur, arrangeur, interprète, né au Pays Basque, Elias, très jeune se passionne pour la musique. Déterminé et autodidacte, il apprend à jouer de la guitare, puis du piano. Ses premières œuvres composées, il travaille le chant et se produit sur scène dans sa région.
Sa persévérance le conduit à Paris et de ses rencontres, c’est son talent de compositeur qui s’affirme. Il signe des titres pour la série télévisée « Sous le soleil » et pour de nombreux artistes issus de la « Star Academy » et de « A la recherche de la Nouvelle Star ».
Très motivé, Elias, souhaite aussi interpréter ses propres chansons.
En 2010, il s’inscrit sur le site participatif Akamusic et propose ses nouveaux titres. Grâce à l’engouement immédiat des « producteurs » internautes, son 1er album « Des roses en hiver » sort en 2012 avec une distribution Universal Music.
Les médias (Presse - TV) et surtout un réseau de plus de 80 Radios FM soutiennent ses chansons « Changer les mots », Citoyens du monde », « La vie est belle »...
Le réalisateur de l’album Génération Goldman 2 lui confie les chœurs sur les titres « Nos mains » et « 1, 2, 3 ».
S’enchaînent des programmations scénique en première partie d’artistes, dont Hélène Ségara, Stone, Didier Barbelivien, Amaury Vassili, Michel Fugain... dans des salles prestigieuses... A Bruxelles, c’est au B’Izou qu’il est accueilli.
Sa première scène parisienne, lui est offerte le 24 mai 2014 au Sentier des Halles, petite salle mythique qui lui tenait à cœur pour présenter ses chansons...
Très créatif, de son home studio ELIAS compose son deuxième album et sollicite des auteurs de grande renommée qu’il apprécie. Ils répondent tous présents. Parmi eux, François Welgryn (Céline Dion, Johnny Hallyday), Christian Vié (Héléne Ségara, Natasha St-Pier), Daria de Martynoff (Maurane, Jane Birkin), Iza Loris (Julie Zenatti, Hélène Ségara), Jacques Roure (Michèle Torr, Serge Reggiani) et Sabine Cardinal (déjà auteur sur le premier album d'Elias).
Au fil de sa route, il croise aussi des mélodistes qui participent à son nouveau défi, comme Valentin Marceau, Dominique Spagnolo (Calogero, Florent Pagny), Cyril Paulus.
L'album est co réalisé par Elias et Christophe Balency (Rock Voisine).
ELIAS, réitère donc en 2014 une production sur la plateforme de financement participatif My Major Company. De nouveau, les internautes soutiennent le projet..
Le premier single « Mon désamour » est écrit par Elias et Christian Vié et composée par Elias et se classe en février dans le TOP 100 itunes VF.
L'album "Un nouveau jour se lève" est attendu pour septembre / octobre 2015.
Après son premier album " Des Roses en hiver ", Elias vous invite à le rejoindre pour une nouvelle l'aventure. Elias est un auteur, compositeur et interprète né au Pays Basque. Il a gardé de sa région d'origine, l'accent du sud, la détermination et la générosité.
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" Il y a un chant endormi dans toutes choses qui rêvent sans fin et le monde se mettra à
chanter, si tu trouves le maître mot."
- Joseph Von Eichendorff
La magie entre nous, ce sont ces notes de musique sur l'écran.
"Avec délicatesse, trouver la bonne mesure, la bonne tonalité"
Le violon est un coeur fragile, il demande beaucoup d'attention.
Fragile mais très passionné si il est bien accordé.
Alors seulement, tel un tsunami, il en sortira le plus doux, le plus merveilleux des sons.
"Ce qu'il y a de plus doux, de plus noble et de plus bienfaisant dans la vie, c'est d'aimer, c'est de sentir et de concevoir le beau idéal. Voilà pourquoi il faut aimer tout ce qui s'en rapproche, le rêver sans cesse, le chercher partout, et le prendre tel qu'on le trouve."
- Georges Sand
Il y a un chant endormi dans toutes choses qui rêvent sans fin et le
monde se mettra à chanter, si tu trouves le maître mot.
Il y a un chant endormi dans toutes choses qui rêvent sans fin et le monde se mettra à chanter, si tu trouves le
Il y a un chant endormi dans toutes choses qui rêvent sans fin et le monde se mettra à chanter, si tu trouves le mmaître mot.aître mot.)
♪♫♪♫ - Louis Armstrong - What a wonderful world ( Quel merveilleux monde)
I see trees of green J'aperçois des arbres verts Red roses too Des roses rouges également I see them bloom Je les vois s'épanouir For me and you Pour toi et moi And I think to myself Et je me dis tout bas What a wonderful world Quel monde merveilleux
I see skies of blue Je vois des cieux bleus And clouds of white Et de blancs nuages The bright blessed day L'éclatant jour béni The dark sacred night La sombre nuit sacrée And I think to myself Et je me dis tout bas What a wonderful world Quel monde merveilleux
The colours of the rainbow Les couleurs de l'arc-en-ciel So pretty in the sky Si jolies dans le ciel Are also on the faces Sont aussi sur les visages Of people going by Des passants I see friends shaking hands Je vois des amis se serrer la main Saying « How do you do ? » Se dire « comment vas-tu » They're really saying « I love you » En réalité ils se disent « je t'aime »
I hear babies cry J'entends des bébés pleurer I watch them grow Je les vois grandir They'll learn much more Ils apprendront bien plus Than I'll ever know Que je n'en saurai jamais And I think to myself Et je me dis tout bas What a wonderful world Quel monde merveilleux
En savoir plus sur http://www.lacoccinelle.net/244163.html#oQEmDDec4Ty2Bqt3.99
Je parlais sans avoir envie Je pleurais comme c'est pas permis Je t'espérais de tout mon être Je vivais dans l'incertitude J'avais peur de la solitude Je voulais mourir sans renaître
Aller vers des mains qui se tendent Sourire à des yeux qui demandent Je voulais vivre une autre chance Tu as posé tes mains sur moi Et j'ai tremblé sans avoir froid Quand tu m'as sortie du silence
Tu es venu dans ma vie
Comme vient l'arc-en-ciel
Je te voulais dans ma vie
Comme on veut le soleil
Sans faire de bruit
La lumière est entrée dans mon coeur
Et j'ai trouvé enfin le bonheur
Tu es venu dans ma vie
Comme vient l'arc-en-ciel
Je t'attendais dans ma vie
Comme on veut le soleil
Sans faire de bruit
Ton image est restée dans mon cœur
Et je connais enfin le bonheur
Parler de nous toute une nuit Pleurer de joie lorsque tu ris Et m'accrocher de tout mon être A des "je t'aime" de certitude A des présents sans habitude Sans jamais rien laisser paraître
Guider tes mains qui me demandent Au creux de mes reins qui se tendent Et te faire entrer dans ma danse Poser mes lèvres sur tes lèvres Trembler de joie, trembler de fièvre Crier ton nom dans le silence
Tu es venu dans ma vie
Comme vient l'arc-en-ciel
Je te voulais dans ma vie
Comme on veut le soleil
Sans faire de bruit
La lumière est entrée dans mon coeur
Et j'ai trouvé enfin le bonheur
Tu es venu dans ma vie
Comme vient l'arc-en-ciel
Je t'attendais dans ma vie
Comme on veut le soleil
Sans faire de bruit
Ton image est restée dans mon cœur
Et je connais enfin le bonheur
Sans faire de bruit
La lumière est entrée dans mon coeur
Et j'ai trouvé enfin le bonheur
Tu es venu dans ma vie
Comme vient l'arc-en-ciel
Je t'attendais dans ma vie
Comme on veut le soleil
Sans faire de bruit
Ton image est restée dans mon cœur
Et je connais enfin le bonheur
Tu es venu dans ma vie
Comme vient l'arc-en-ciel
Je t'attendais dans ma vie
"On commence à partager quand on aime, pour offrir ensuite sa part avec amour."
Je t'ai cherché depuis longtemps, tu sais Je t'ai rêvé depuis longtemps, c'est vrai Dans mon cœur chaque matin, perdu M'était en moi comme un chagrin, de plus Et j'ai pleuré plus qu'à mon tour, parfois Le temps est lent quand on est sans joie J'ai passé toute ma vie désemparée Mais je me suis toujours dit que tu viendrais
[Refrain] : Car à ma chance j'ai fait confiance On ne peut pas toujours souffrir D'être sans souvenir J'ai passé toute ma vie désemparée Mais je me suis toujours dit que tu viendrais
Je t'ai cherché depuis longtemps, tu sais Je t'ai rêvé depuis longtemps, c'est vrai Dans mon cœur chaque matin, perdu M'était en moi comme un chagrin, de plus Et j'ai pleuré plus qu'à mon tour, parfois Le temps est lent quand on est sans joie Tu vois que j'avais raison de t'espérer Et qu'à l'unisson on s'aimerait
[Refrain]
Car à ma chance j'ai fait confiance On ne peut pas toujours souffrir D'être sans souvenir J'ai passé toute ma vie désemparée Mais je me suis toujours dit que tu viendrais
Car à ma chance j'ai fait confiance Car à ma chance j'ai fait confiance