LE BANC ... (2) ...

C'est un banc sous un saule, simple endroit où s'asseoir

S'asseoir ou s'embrasser, écrire ou bien pleurer,

Pleurer sur le passé, d'un amour adoré

Adorer ces instants, où décline le soir

Soir d'été sous la lune, allongé sur ce banc

Banc qui t'a vu enfant, confident de toujours,

Toujours, rêver d'ailleurs, et pourtant tu chéris

Chéris l'endroit magique, où tu connus ta belle

Belle douce et unique, le saule comme ombelle

Ombelle protectrice de ces cœurs épris

Épris de grands espaces, d'aventures sublimes,

Sublime ritournelle, d'un grand musicien

Musicien qui compose, l'air de rien, magicien,

Magicien sur un banc qui accueille mes rimes

C'est un banc sous un saule, simple endroit où s’asseoir

S'asseoir ou s'embrasser, écrire ou bien pleurer...

Dyane mars 2014

Ipagination - Poème : Juste un banc ou s'asseoir... par Dyane via @ipagination

C'est un banc sous un saule, simple endroit où s'asseoir S'asseoir ou s'embrasser, écrire ou bien pleurer, Pleurer sur le passé, d'un amour adoré Adorer ces instants, où décline le soir Soir d'été sous la lune, allongé sur ce banc Banc qui t'a vu enfant, confident de toujours, Toujours, rêver

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Banc d'automne


De ces immensités vallonnées sans éclat,
Le chemin endormi sans feuille s'effiloche
De vent... La nuit rêve en bord de pan d'un jour, poche
De ces simplicités ballonnées en éclat...

Les pierres s'amusent et bêchent un roc sans paras,
Là, les brindilles sans racine, en vent se fauchent !
L'orchestre, des arbres se courbent, grincent en cloche,
Sifflant l'automne allant en silence en amas !

Un bloc de vague sans plage qui joue aux toges,
Aveugle, sans printemps, inondé d'âpre loge
La forêt se laisse défleurir en repas...

Un banc est là, fauteuil aimant muer en roche
Banc d'automne, d'un temps où l'idylle ricoche
D'un cœur. La plume en main, assis, il regarda.


Yoann Grellety

Banc d'Automne [Poème]

Voici à la suite, un poème qui est frais, et que j'ai à cœur de laisser ici... Même si je ne donne pas vraiment l'explication, je crois que certains comprendront... Texte au propre : Lien Banc d'automne De ces immensités vallonnées sans éclat, Le chemin endormi sans feuille s'effiloche De vent...

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