LARMES DE FEMME ...
Larmes de femme ...
Un petit garçon demanda à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répondit-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.
Sa mère le prit dans ses bras et lui dit :
- Et jamais tu ne comprendras.
Plus tard le petit garçon demanda à son père :
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?
Et Dieu répondit :
- Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale.
J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ;
et assez douces pour être confortables.
Je lui ai donné la force de donner la vie,
et celle d'accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants.
« Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne,
et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.
Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel,
même quand ces derniers l'ont blessée durement.
« Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts
et de demeurer à ses côtés sans faiblir.
Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
« Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte,
ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux.
La beauté d'une femme réside dans ses yeux.
car c'est la porte d'entrée de son coeur - le lieu où réside l'amour.
Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.
« Toutes les femmes sont belles,
et nous devons les encourager à s'aimer telles qu'elles sont
et à avoir une juste estime d'elles-mêmes. »
Anonyme
http://www.alliances-delivrances.com/article-femme-l-onctio…
http://www.bonheurpourtous.com/botext/larmesf.html
Quand soudain quelques mots couchés là, sur du papier, vous fait remonter le passé. Ces quelques mots, qui vous bousculent et que votre corps se met à trembler. Toujours ces mots que vous parcourez et que vous aimeriez oublier, mais que le temps n'a pas effacé. Que ce soit de "bons" ou de "mauvais" mots, comme "Je t'aime" ou "Pardonne-moi" ou encore "Je ne recommencerais plus" ne vous laissez plus troubler. Les prendre au deuxième degré ? ... A vous de voir, mais se détacher de ses mots pour ne plus être tourmenté serait déjà un bon moyen de continuer.
Myriam M.
♪♫♪♫ - Blessée - Linda Lemay
Blessée, Blessée depuis un jour perdu
Dont elle ne se souvient même plus
Blessée, Blessée comme un pigeon qui boite
Et qui tourne en rond sur l'asphalte
Blessée, comme un passé qui l'a poursuit
Comme la nuit poursuit le jour
Blessée, dans son cœur gros que toute sa vie
Elle conduiras comme un poids lourd
Blessée, par un papa tellement sec
Que le désert a l'air mouillé
Blessée, par les vieux doigts d'un vilain mec
Que sa mère à même pas quitté.....
Blessée, par un de ces coureurs de victimes
Qui lui a arraché ses jupons
Blessée, dans ses désirs les plus intimes
Qu'on lui tordais comme des chiffons
Blessée, a force de toujours tomber
En bas de sa vie en constructions
Blessée, mais toujours prête a se relever
Et a redresser le menton
Blessée, sans doute a la vie a la mort,
Blessée oui, mais pas morte encore
Blessée, mais résolue a vivre mieux
Cette foutue vie qui lui en veux
Blessée, au creux d'son histoire en lambeaux
Mais l'espoir en un seul morceau
Blessée, pressée de voir s'achever la guerre
Blessée avec le bras en l'air
Pressée, d'agiter son ptit drapeau gris
Celui que le temps ..... a sali
Blessée, par un papa tellement vieux
Qu'il aura pas l'temps d'aimer mieux
Blessée, par une maman bien peu mature
Qui est du même sang que la blessure
Blessée, mais prête a prendre sous sous son aile
Tous les autre blessés comme elle .....
Blessée, mais convaincue qu'un jour viendra
Où la souffrance s'estompera
Blessée, comme tant d'personnes sur la planète
Que tout éprouve, que rien n'arrête
Blessée, mais c'est la plus forte de toutes ...
Et son cœur lourd tient bien la route ...
♪♫♪♫ - Zaz - Si
Si j'étais l'amie du bon Dieu.
Si je connaissais les prières.
Si j'avais le sang bleu.
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne,
princesse, fée, grand capitaine,
d'un noble régiment.
Si j'avais les pas d'un géant.
Je mettrais du ciel en misère,
Toutes les larmes en rivière,
Et fleurirais des sables où filent même l'espoir
Je sèmerais des utopies, plier serait interdit,
On ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des maîtres, des puissants.
Si j'avais les clés de leurs âmes.
Si je savais prendre les armes,
Au feu d'une armée de titans.
J'allumerais des flammes,
Dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines.
J'inventerais des Éden.
Aux pas de chances, aux pas d'étoiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille,
Et deux mains tendues de brindilles.
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de cœurs ensembles.
Si nos voix s'unissaient,
Quels hivers y résisteraient ?
Un monde fort, une terre âme sœur,
Nous bâtirons dans ces cendres
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur.