TEXTES ET CITATIONS ...
"Mon âme est comme un son de cor venu des plaines et qui se fond en clair de lune sous les feuilles. Silence. Mon âme rêve."
- Paul Fort
Vers et prose. 1906
"Comme les yeux de la chouette,certaines pensées ne supportent pas la lumière du jour. Elles ne peuvent naître que la nuit,où,exerçant la même fonction que la lune,elles meuvent des marées de sens dans un invisible ailleurs de l'âme."
Accabadora
- Michela Murgia
"Tout au fond de votre coeur, un germe de tendresse n'attend qu'un sourire chaleureux pour se développer."
- Roland Delisle
"La vie a bien plus d'imagination que nous tous réunis, elle est parfois porteuse de petits miracles, tout est possible, il suffit d'y croire de toutes ses forces."
- Marc Levy
"Quand le coeur emprunte le reste du corps pour s'exprimer, la qualité de l'expérience se raréfie, se sublime."
- Thérèse B. Bayol
«Plus tu donnes d'amour, plus tu recevras, c'est la première loi de l'amour l'égoïste qui reste dans son coin avec son petit peu déjà accumulé restera à jamais dans son coin malheureux sans amour véritable. ne pas être découragé si l'amour ne nous est pas rendu immédiatement est la deuxième loi. car quand nous donnons c'est avant tout par amour, pour le plaisir de celui qu'on aime. attendre en retour serait alors une façon de vouloir profiter, de réclamer et l'amour ne se réclame pas, l'amour s'offre. »
http://vie-belle-bejaia.skyrock.com/3252213178-plus-tu-donn…
Le Cocon et le Papillon
Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un homme s'assit et regarda le papillon naissant se battre pendant des heures pour crever son abri et forcer le petit trou à s'agrandir. Mais bientôt il sembla à l'homme que l'insecte ne progressait plus. Il était allé aussi loin qu'il avait pu mais il ne bougeait plus.
Alors l'homme prit une paire de ciseaux et découpa délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir. Celui-ci émergea facilement. Mais il avait un corps chétif et ses ailes froissées étaient atrophiées.
"Pas grave, il va se développer" se dit l'homme et il continua à regarder le papillon en espérant qu'il déploie ses ailes pour voler.
Mais cela n'arriva jamais. Le papillon passa le reste de sa vie à ramper sur son petit corps, incapable d'utiliser ses ailes rabougries.
Ce que l'homme, dans sa bonté précipitée, n'avait pas compris, c'est que le cocon trop serré est une ruse de la Nature pour forcer le papillon à le percer et à entraîner ses ailes... A cette condition seulement, il peut voler.
Parfois, nos angoisses, nos échecs, nos coups durs sont précisément ce dont on a besoin. Si la nature permettait qu'on avance dans la vie sans jamais rencontrer aucun obstacle, cela nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon trop vite naît à qui la facilité a coupé les ailes.
La liberté est chèrement acquise..Mais on ne vole pas sans s'entraîner un minimum !
En savoir plus sur http://desjolieschoses.e-monsite.com/…/le-cocon-et-le-papil….
Pour juger correctement la réalité, il faut reconnaître comme tels ces bons et ces mauvais côtés. D’un certain point de vue, il est possible de tout voir sous un jour positif. Même la souffrance peut être considérée comme bénéfique. Je ne parle pas ici du point de vue religieux. Je remarque simplement que ceux qui ont traversé de nombreuses épreuves ne se lamentent d’habitude pas à la moindre difficulté. Les peines qu’ils ont connues ont forgé leur tempérament, leur ont donné une vision plus large, un esprit plus stable, plus proche de la réalité, davantage à même de voir les choses telles qu’elles sont. Ceux qui ne rencontrent aucun problème et passent leur vie dans du coton se dissocient du réel. Face à un petit tracas, ils « remplissent le pays de lamentations ».
- Texte du Dalaï Lama ...
http://bizare002.free.fr/spip.php?article62
“Etre nus, c'est ne plus rien se cacher, c'est ne même plus avoir besoin de mots car le corps parle de lui-même, dans cet ailleurs de l'enfance qui n'est plus que la simplicité quand elle sait s'habiter.”
― Victor-Lévy Beaulieu
"Rien ne reste caché pour toujours."
Proverbe grec ; Maximes de la Grèce antique (1855)
"Vivez les rêves que la vie vous défie de rêver."
- Martin Luther King
“Ce n’est pas nous qui faisons l’histoire. C’est l’histoire qui nous fait.”
- Martin Luther King De Martin Luther King / La Force d’aimer
Une caresse
Une caresse a mille facettes
Une caresse se fait coquette
Elle est la douceur d’une main
Elle est la chaleur d’un demain.
Une caresse n’est que tendresse
Une caresse jamais ne blesse
Elle est le velouté d’un doigt
Elle est le charme d’une voix.
Une caresse est légère telle une plume
Une caresse se déguste parfois se hume
Elle est ferme et pourtant aérienne
Elle est mienne et devient tienne.
Une caresse n’est que onctuosité
Une caresse est toute en virtuosité
Elle est si humble, pleine d’égard
Elle est l’aménité d’un regard.
Une caresse est un suave murmure
Une caresse a l’acidulé d’une mûre
Elle est le goût intime d’une peau
Elle est l’égarement d’un radeau.
Une caresse est une sucrerie frivole
Une caresse est une tendre obole
Elle est le souffle d’une bouche
Elle est la fraîcheur d’une douche.
Une caresse se décline sans fin
Une caresse se déguste sans faim
Elle est de l’amour le langage
Elle est le fossoyeur des barrages.
Je te les offre ces moelleuses caresses
Que ton corps s’abandonne et paresse
Quand mes mains sur lui vagabondent
Afin que de sensations ton esprit s’inonde.
Une caresse est un exquis effleurement
Une caresse est le ralliement des amants
Elle est le pouvoir d’arrêter le temps
Elle est un envol pour le firmament.
Isabelle Cassou
http://www.poesie.webnet.fr/…/isabelle_cas…/une_caresse.html
♪♫♪♫ - La tendresse - Bourvil ...
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un coeur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos coeurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours